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blog up
6 avril 2006

La Cinémathèque de Paris est en train de devenir

hell

La Cinémathèque de Paris est en train de devenir un endroit incontournable du rock'n'roll avec cet hommage à l’anthologie intitulée « Aussi Haut que nous le pourrons. Aventures dans le commerce de la poésie » . Après avoir accueilli, F.J. Ossang, Lydia Lunch et avant d'accueillir Tav Falco elle accueillera demain le mythe de la jeunesse de Blog Up : Richard Hell.
Pour Richard Hell les guitares s'est du passé quoique sa poésie n'est pas très éloignée des riffs des belles années de la scène new yorkaise avec notamment ses Voidoid. Blog Up n'oublliera jamais une chanson comme Blank Generation que Blog Up transportera toujours dans un coin de sa tête. Richard Hell a toujours associé musique et littérature. Pour l'anecdote, lorsqu'il était jeune pour gagner sa vie il travaillait chez Strand, la mythique librairie d'occasion de New York.
Depuis de nombreuses années, il se consacre exclusivement à la littérature. Blog Up préfère cela à un éventuel come back raté. Il sera là demain soir. Il lira des poèmes avant la projection du mythique film de Rachid Kerdouche Final Reward dans lequel Richard Hell joue. Final Reward est un film résolument punk.
La soirée offrira aussi une rencontre avec Legs Mc Neil et Gillian Mc Cain figures incontournables de la scène punk new yorkaise. Ils viendront présenter Please Kill Me [édition Allia], un livre indispensable. Please Kill Me est un document pour vivre de l'intérieur cette époque grâce aux nombreux entretiens avec les acteurs de ce mouvement. Mais n'en disons pas plus car la qualité de ce livre mérite largement une chronique prochaine dans Blog Up... à suivre...

A ECOUTER : des titres de Richard Hell
A VISITER
: le site de  La Cinémathèque et des éditions Allia avec l'indispensable collection la critique rock avec les livres de Greil Marcus, Nick Tosches, Nik Cohn et Jon Savage

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Commentaires
A
J'étais sur scène, en sueur. Le public était sublime, m'a arraché mon futal et même, pire, une meuf m'a démaquillé (ouais j'me maquille pour aller sur scène et alors?) et je n'ai pas eu l'honneur de voir Ossang sur scène, ni dans le public parce qu'il préfère les anniv. d'ex-footballeur pseudo-peintre pas si méchant qu'il en avait l'air. <br /> Alors je lâche, je chie je gueule des textes comme un taré et le public a l'air déboussolé parce que je vomis tout plus que je ne l'interprète. Et je me sens seul, limite pourri sous les spots de merde de la salle de concert. Et en loge, je suis malade et Arturo B et Vidal et Verge tentent de me soulager avec des mots de réconfort. Mais c'est trop tard. Les textes sont sortis, déversés sur tous sans distinction. Et mon coeur qui s'emballe... <br /> <br /> Voila. Si vous souhaitez connaitre le boulot du collectif d'écrivains Hirsute, allez voir par là: http://hirsute.hautetfort.com
B
Je l'ai croisé dans le métro samedi soir....<br /> C'est le même que sur la tof<br /> Etrangement il m'a pas reconnu..........
F
J'avais déjà poster un commentaire après la chronique sur les NY Dolls. Je recommence: PLEASE KILL ME est LE grand oeuvre sur la petite hisoire du PUNK. et Richard HELL en est un des protagonistes importants. A lire ABSOLUMENT. En plus la couverture est magnifique (et rose... ce qui plait à mes filles)<br /> <br /> Fabien (POPORAMA)
M
Merci pour cette note passionnante et riche en documents magnifiques. On attendra avec impatience la prochaine note sur Please Kill me.
S
Cette album de Richard hell, reste pour moi un monument de Punk... Au même titre que "London Calling", des Clash. Sur ce disque, la guitare de Robert Quine (un de mes maîtres), fait des merveilles !!
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